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* Groupes au 9 juin, modifiés comme suit: un agraire dont l'élection est contestée est mis avec le groupe des Indépendants d'action, sociale et paysanne; le groupe fédérant le Parti de l'Unité prolétarienne, le Parti Camille-Pelletan, le Parti frontiste, le Parti de la Jeune République et la Gauche indépendante est séparé: les deux premiers sont mis à leur emplacement logique dans le spectre politique de l'époque, et les autres considérés soit comme divers Front populaire (14), soit comme « ambivalents » (4, dont Doriot et Marquet); un des 5 non-inscrits est mis avec les « ambivalents » (Frossard), les 4 autres sont considérés comme de droite très modérée (Bouisson, Guernier, Hennessy, Médecin). ** Regroupe l'essentiel des radicaux modérés et les ex-Indépendants de gauche. *** Dont 3 radicaux seulement. **** Ex-Républicains du centre (voir 1932). Le Front populaire gagne nettement en sièges, de peu en voix. En effet, si au premier tour il totalise sur le papier On notera: - l'importance de l'agglomération parisienne pour le Parti communiste, acquise dès les municipales de 1935 - l'aspect géographiquement dominant de la SFIO, encore à cette date au coeur des régions de tradition de gauche depuis le retour de la République en France - la marginalisation du radicalisme, même de gauche, désormais très loin de ses bases de départ... |